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Message  corentintreb Sam 24 Mai - 22:16


--- E C L A I R E U R ---
A ses risques et périls





La nuit était douce,


les feuilles bruissaient doucement, alors que le froid prenait possession de la forêt.
La lune, montrait son premier quartier, diffusant une lumière blafarde dans les buissons aux ombres mouvantes qui prenaient souvent la forme de monstres au dents acérées.
Lawan effectuait son inutile travail, surveiller les alentours de la nouvelle colonie, alors que l'entrepôt était presque vide.

Mais le stratège graisseux de la ville était un vieux parano, et il envoyait toujours de jeunes recrues de l'armée se glisser dans les bois glacées, aux alentours de minuit.

Comme par hasard, ses compagnons de decumamun l'avaient aussitôt désigné pour ne pas avoir à effectuer la tâche ingrate.

Il aimait presque ces moments de solitude, seul, dans les bois, calme.

Il pouvait s'assoir dans l'herbe verte et fraiche, s'allonger, sentir le vent, penser.
Mais les buissons humides de l'inhospitalière contrée ne lui laissaient pas ce plaisir.

Il s'adossa a un arbre.

D'après sa rolex (calculs de tête en rapport avec le tems, rolex, rolegis, rolegi,...) il devait être 2 heures du matin.

Fatigué.
La tête lui tournait presque.

Il était temps de rentrer.

Se relevant, Lawan fit quelques pas, souple, détendu, cherchant a éviter les brindilles, comme il l'avait fait si souvent avec les passages cloutés, quand son père lui racontait qu'il y avait des crocodilum entre les bandus blanchéeuss.

Décontracté, il entendit un sifflement, et réfléchi a quel octave prendre pour suivre cette lointaine mélodie.

Une mélodie???

Il était le seul de garnison a cette heure ci!

Craquement.

Paroles étouffées.

Un léger bruissement métallique.

Lawan se pressa de se mettre dos a un arbre.

Deux individus, une épée et un long coutelas dans chaque main, passèrent devant lui.
-" Oh, putaing, il nous emmerde le vieux, çà sert à quedal de faire un rapport d'espionnage.Ils ont personne dans cette ville.
Avec nos 40 géants à vapeur et la centurie d'archers on en ferra de la pâté en direct."


La garnison de la ville comptait 10 archers.

Bouffée d'adrenaline.


Il eut le hoquet.
Les deux hommes, comme s'ils ne faisaient qu'un, se retournèrent.

Courir, il fallait courir, Prévenir les Autres.
Des centaines de vies dépendaient de lui.
Un poids.

Il pensa au massacre qui pourrais arriver.

Sang.
Larmes.

Déjà les deux hommes se jettaient sur lui.

Pas le temps de réfléchir.

Lawan tira sa dague, dérisoire.


Prêt à
mourir...





Les lames se firent vent, la vitesse pure.
Prit en tenaille.
Les lames poursuivaient leur coursent.

Il n'avait pas le temps, roulade.

Il se releva souplement, position de combat.

Il avait échappé a la mort.

Les deux ennemis se consultèrent.
Ils avaient peur.

L'un se plaça devant l'autre, qui tirra un sifflet de bois et en sortit une note aigu.

A quelque tirs de pierres, derrière Lawan, un son du même registre le fit sursauter.

Puis 4 sons se firent entendre.

Il était prit au piège.

Les deux lâches le regardèrent, un éclat de satisfaction mélé de crainte dans les yeux.

Au lieu de s'enfuir, il pivota sur ses appuis pour allonger une frappe armée vers le visage de l'homme le plus proche.

Surpris.

La lame faisait corps avec lui, elle était le prolongement de son bras, de son âme, elle glissa, sans perdre de vitesse, traversa la matière.
Sa lame était vivante.

Une tête tomba.

Il avait donné la mort.

L'homme s'écroula, la tête roula au sol, avant d'offrir à Lawan son visage.

Les yeux déjà vitreux de l'homme le regardèrent, un dernier souffle parvint à écarter les commisurent de ses lèvre qui perdaient déjà de leur couleur.
Un souffle s'échappa de la tête qu'il avait arrachée.
De la tête d'un corps sans vie qui tomba devant lui, projettant de petits nuages de poussière, s'écrasant sur le sol avec un bruit mat, mou.

Il avait tué.






Des mots lui vinrent à l'esprit: tueur, assassin.
Il avait tué.
Il ne méritait plus de vivre. Il moisirait en prison le reste de sa vie.
Il avait tué.
Ils étaient tout de même en temps de guerre.
Mais il avait tué.

Un cri le ramena a la réalité, le guerrier encore vivant s'époumonait à rappeler ses amis, ils allaient vite rappliquer.
Il fallait fuir.
Fuir, toujours fuir, la réalité, la guerre, la mort...
Il fallait qu'il garde ses larmes pour un temple de repos.

Courir.

Lawan s'élança. Sur ses appuis. A de longues foulées en suivirent de petite, il entrait dans le coeur de la forêt, la partie maudite, crainte par les légendes comme par les réalités, comme des disparus.
Mais il n'avait pas le choix.
Sur ses appuis, il devait courir. Toujours plus vite, plus loin.

Vitesse.

Il faisait corps avec la terre. Ses pieds se déplaçaient, agiles, volant au dessus de l'herbe, persque sans laisser de trasses.
Un cri rauque fut prononcé a sa droite.
Cinq hommes se tenaient, deux archers, trois épéistes.
il ne les voyait pas distinctement, les fougères et arbres qui passaient devant ses yeux lui procuraient la sensation d'un vent.
Il jubilait.
Deux flèches sifflèrent.
Pirouette, parade. Une rentra dans un arbre et l'autre fut tranché par sa dague.
Il était poursuivit par cinq soldats armées et entrenés, mais il riait. Il était heureux.

Ils le regardèrent comme un fou.
Ils s'avancèrent.

Ils attaquèrent.

Les archers avaient optées pour un coutelas dans chaque main, utiles en combat rapproché.
Encerclement.
Ensemble, les ennemis frappèrent.

Rire.

Ils étaient trop lents.
Il esquiva les septs coup.
Il frappa. Un souffle. Sur d'eux, les épéistes restèrent ébahis lorsque qu'ils virent que de leurs épées qu'ils tenaient en main, ils ne restaient que la garde.
Il repris sa course.
Cette fois, les bruits étaient plus fort.
Il déboucha sur un clairière. Une quinzaine de tireur se tenaient devant lui.
Il vit l'étincelle dans leur yeux.
Alors que les quatre premiers avaient tirées, ils s'était déporté a gauche, agile, intouchable.

Des bruits de ferraile.
Il tourna la tête, et dans ses yeux, la sûreté disparut.
Des arbres tombèrent.
Des géants à vapeur se tenaient devant lui.
Les quarantes géants à vapeur qui avaient passés les surveillances se tenaient devant lui.
Il allait mourir, une nouvelle, lourd a la fin.

Silence de mort.
L'"armée" qui se tenait devant lui salivait déjà sa mort prochaine.

Des hennisements.
Des cavaliers surgirent des bois.
Sans bruit, les sabots d'innombrables chevaux foulèrentle sol.
Une pluis de flèche fut décochée.

A suivre, je dois aller me coucher!!!!

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Message  corentintreb Sam 31 Mai - 10:51

J'ai posté la 2° et 3° partie, la 4° sera peu etre pour demain!!!!

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